Le patois
par Ghaida,
La définition du Patois
C’est un terme de la fin de la XIII siècle pour désigner une langue non compréhensible , il n’était pas nécessairement attacher aux paysans , il est utilisé pour designer les langues minoritaires en Belgique, en France, en Italie et en Suisse. Le terme est rarement utilisé au Canada. Il donne des connotations et des sens péjorative pour cette raison il n’est pas utilise par les linguistes, ils préfèrent parler de langues (les dialectes) ; mais souvent spécialistes de dailectogie , ils le utilise pour un parler local .
Quelques
définitions de différentes éditions du Dictionnaire de l’Académie
française :
- 8e édition3 : Variété d'un dialecte, idiome propre à une localité rurale ou à un groupe de localités rurales.
- 9e édition4 : Variété d’un dialecte qui n’est parlée que dans une contrée de faible étendue, le plus souvent rurale.
L’étymologie
du terme
Le
patois [patwa],
fém. [-wa:z]. Le
mot « patois » viendrait de l'ancien
français patoier signifiant agiter
les mains, gesticuler puis se
comporter, manigancer,
dérivé de patte au
moyen du suffixe –
il
nous aide de comprendre les sens péjorative que le terme comporte.
Autre hypothèse peu crédible qu’il vendrait du Latine Patria qui
nous montre qu’il a une dispersion locale d’un dialecte.
La
relation entre le française et le patois
Le dictionnaire
de l'Académie française le
définit en 1762
; « Langage
rustique, grossier, comme est celui d'un paysan, ou du bas peuple ».
Après
cette définition beaucoup des gens des romanciers et écrivains et
…sont la dénoncé car il relève d'une forme de discrimination.
Le
patoiss Normand, c’est une des langues dialecte dans la région ou
nord ouste de France, l’adj. (Normande) est une racine française
originale de Normandie.
Des
exemples du patios
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Les
références
- « Laurent Gaude »??. in cnrtl.fr, [ en ligne]. Disponible sur le web :Gaude/3559http://www.cnrtl.fr/definition/patois
- « Laurent Gaude ». in patois.charolais.online.fr, [ en ligne]. Disponible sur le web :Gaude/3559http://www.patois.charolais.online.fr/
- « Laurent Gaude ». in nouvellelanguefrancaise.hautetfort.com, [ en ligne]. Disponible sur le web :Gaude/3559http://nouvellelanguefrancaise.hautetfort.com/archive/2010/04/27/patois.html
Les langues régionales en France
par Asal, Jihan et Rola
Les langues
régionales en France:
Sont un ensemble
de langues géographiquement et historiquement implantées sur le
territoire français. Aussi, elles sont parfois appelées dialectes
ou patois. En France où présente la plus grande diversité
linguistique.
il
y a soixante-dix-sept langues régionales en France, les plus connues
sont l’occitan, l’alsacien, le breton, le corse, le catalan, le
basque et le flamand,
l'arpitan,
le francique, ainsi que plusieurs langues dans les DOM-TOM. La
plupart des langues régionales ne comptent qu'une minorité de
locuteurs.
Il y a des
différents entre les langues régionales et les dialectes
exemple: le normand est un dialecte du français. Cependant,
certaines langues régionales sont des dialectes ex: L'alsacien est
un dialecte dérivé de l'allemand, mais est considéré comme une
langue régionale.
Le plan
juridique:
il y a quatre lois méritent d'être relevées: la loi Deixonne de
1951, la loi Haby de 1975, la loi Bas-Lauriol de 1975 et la loi
Toubon de 1994.
En 1958, la
Constitution française a decide que le français la seule langue
officielle en France.
En 2008, La
révision constitutionnelle reconnait que Les langues régionales
appartiennent au patrimoine de la France. « La langue officielle de
la République est le français. Les langues régionales
appartiennent au patrimoine de la nation. »
La loi Deixonne de
1951, cette loi a stipule le défendre la langue française et
protéger les langues régionales.
L'enseignement
le système
d'éducation français a toujours été peu perméable à
l'enseignement des autres langues maternelles que le français.
Les circulaires
des 21 juin 1982 et 30 décembre 1983 ont conféré à
l’enseignement des langues et cultures régionales non plus le
statut de «matière facultative», mais celui d’une «matière
spécifique» disposant, de la maternelle à l’université.
le ministre de
l'Éducation nationale (André Savary) a donne un programme pour
engainer cettes langues
Ce programme
comportait cinq caractéristiques essentielles:
. L'option
fondamentale de la circulaire-
. -L'ambiguïté
du concept «culture et langue régionales
. L'intervention
prioritaire de l'État-
-L'octroi aux
langues et aux cultures régionales d'un véritable statut dans
l'éducation nationale.
. Le volontariat
des élèves et des enseignants-
En 1995,
l'enseignement des langues et cultures régionales en France,
réaffirme le ministre «le souci de veiller à la préservation d'un
élément essentiel du patrimoine national» et «l'engagement de
l'État en faveur de cet enseignement»
En 2003, fixant le
programme transitoire d'enseignement des langues étrangères ou
régionales au cycle des approfondissements de l'école primaire
prévoit un programme transitoire (voir l'annexe) pour le basque, le
breton, le catalan, les langues régionales d'Alsace et des pays
mosellans et l'occitan-langue d'oc.
En 2004, le
gouvernement français a publié l'arrêté du 13 janvier 2006 la
liste des «langues vivantes», sans distinguer entre les langues
étrangères et les langues régionales.
Les langues
immigrantes
en 1986, 167
classes bilingues pour toute la France. Si le statut réel de
l'enseignement des langues régionales n'est plus totalement négatif,
il demeure encore inférieur à celui des langues étrangères,
notamment en anglais, puis en espagnol, en allemand et en italien.
Les services
administratifs
Dans les services
administratifs, le français est obligatoire pour tous les documents
écrits, mais les fonctionnaires peuvent utiliser oralement la langue
régionale s'ils la connaissent. D'ailleurs, plusieurs municipalités,
surtout dans les régions marquées par une forte culture identitaire
(Bretagne, Alsace, Pays basque, Corse, Provence, Nice, etc.), ont
commencé à apposer des inscriptions bilingues sur les noms de rue
odonyme.
Les references:
Paul, B, (2014),
«La politique des langues régionales et minoritaires»,
axl.cefan.ulaval.ca, 1, [En ligne] (le 17, mai, 2015),
http://www.axl.cefan.ulaval.ca/europe/france-3politik_minorites.htm
Carmen, AG et
Cellier,M , (2009), «L’enseignement des langues régionales en
France aujourd’hui », revues, 1, [En ligne] (le 17, mai , 2015),
http://trema.revues.org/903
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